Belle pièce de prose, en effet – le parler jeune est effectivement un peu lourd, mais sinon, même à travers la traduction, on sent un style (par exemple quand Ch. S. est bourrée, à la fête super-classe de la fraternité).
J’ai par ailleurs trouvé la fin un poil parachutée… presque décevante. Mais j’en garde un bon souvenir malgré tout.